En peu de temps, le « principe de participation du public » est devenu une source sérieuse d’insécurité juridique pour les opérateurs assujettis à la réglementation environnementale.
En effet, en l’espace de quelques mois, plusieurs textes ayant un impact sur l’environnement ont été censurés au motif que les citoyens n’ont pas été suffisamment consultés au préalable.
Comment le « principe de participation du public », plébiscité comme un progrès démocratique, a pu entraîner de telles conséquences ?
Pour lire l’ « avis d’expert » que j’ai consacré à cette question dans revue Actu Environnement, c’est ici.